dimanche 29 octobre 2017

Association de bienfaiteurs - Michel Hutt et Annette Marnat



Association de bienfaiteurs, Michel Hutt et Annette Marnat

Editeur : Ah!
Collection : Les enquêtes écologiques de Jean-Bernard et Miss Turtle
Nombre de pages : 23
Résumé : Perspicace et très cultivé, Jean-Bernard le blaireau est toujours prêt à mettre son flair légendaire au service du voisinage. Logique mais parfois têtu, il ne lâche jamais une enquête sans en venir à bout. Il est secondé par Miss Turtle, distinguée tortue terrestre sans âge, à l’école de tous les témoignages et qui a l’art de poser les bonnes questions. Forcément un peu lente, elle peut se révéler intrépide au besoin.

- Un petit extrait -



- Mon avis sur l’album -

Initier les enfants à la permaculture par l’intermédiaire d’un album ? Le pari était risqué, et pourtant, Michel Hutt et Annette Marnat l’ont relevé à la perfection : en une petite vingtaine de pages magnifiquement illustrées et colorées, le petit lecteur découvre les bases de la permaculture. Ainsi, à la fin de l’ouvrage, une double page informative explique les principes de la permaculture, mais aussi les ravages de l’agriculture industrielle : ce livre ne se contente pas d’expliquer comment démarrer un potager en permaculture, il explique également pourquoi le faire. Bonne idée, lorsque l’on s’adresse à des enfants qui, par nature, ne cessent de s’interroger sur le « pourquoi du comment », justement !

Tout commence par la colère du jardinier : quelqu’un a mangé ses premières carottes de l’année ! Furieux, il se met en quête de pesticides et autres poisons chimiques afin de décourager ces horribles bestioles de venir gâcher son travail. Mais pendant ce temps, Jean-Bernard le blaireau et Miss Turtle s’activent : après avoir démasqué le petit coupable, tout malade après son repas improvisé, ils décident de prendre les choses en main. Aidés de tous les animaux des environs, ils préparent une belle surprise pour le Père Henri : une butte déjà bien garnie trônant au milieu du potager, n’attendant plus qu’un peu d’amour et de respect pour s’épanouir et fournir de délicieux fruits et légumes.

Jean-Bernard et Miss Turtle, à l’image de Michel Hutt et Annette Marnat, utilisent la pédagogie par l’exemple pour transmettre leurs connaissances et leurs conseils. Ils préfèrent ainsi mettre en place un petit jardin en permaculture pour le montrer au Père Henri et lui donner ainsi envie de changer sa façon de jardiner, plutôt que de le sermonner longuement - et inutilement - sur la nocivité des engrais et pesticides. Et à travers cette histoire, c’est également au petit lecteur - et à ses parents - que s’applique cette sensibilisation. Cet album sensibilise également aux bienfaits de la coopération et du travail de groupe : c’est en s’y mettant tous ensemble, chacun selon ses compétences (les oiseaux se chargeront des brindilles alors que les castors s’occuperont de la coupe du bois), que les animaux parviennent à réaliser en quelques heures à peine ce petit potager respectueux de l’environnement ! Un clin d’œil au Cri du colibri ?

Je suis tombée amoureuse des illustrations de cette petite histoire absolument adorable : c’est mignon tout plein, c’est coloré, c’est joyeux. Je pourrais passer des heures à m’extasier devant ces adorables dessins emplis de tendresse et de douceur. Même les tout-petits y trouveront leur compte : à défaut de comprendre l’histoire, ils pourront s’amuser à nommer tous les animaux rencontrés au cours de l’histoire. Autre point très positif à mes yeux : la narration. Bien qu’adaptée au jeune lectorat, elle n’est pas simplifiée à l’extrême et reste ainsi rédigée dans un français plus que correct qui fera le plus grand bien à vos enfants : la lecture est le moyen privilégié pour l’apprentissage du vocabulaire et de la syntaxe française !

En bref, un magnifique petit album que je conseille vivement, autant pour son aspect éducatif et sensibilisateur que pour la beauté de ses illustrations et de sa narration. Et je tiens à préciser que le conseille autant aux enfants, qui seront charmés par le ronchon Jean-Bernard et son amie Miss Turtle, qu’aux adultes, qui apprendront mine de rien bien des choses sur la permaculture. Et je vous laisse avec la petite devinette proposée à la fin de l’ouvrage : saurez-vous trouver la réponse en commentaire ?

samedi 28 octobre 2017

Marathon Men - Flo Renard



Marathon Men, Flo Renard

Editeur : Autoédité
Nombre de pages : 303
Résumé : Bordelais nouvellement installé à Marseille, Gwenaël est un garçon effacé qui manque d’assurance. À l’inverse, Victorien, paraplégique de naissance, possède une personnalité rayonnante et une inexhaustible volonté. Ils n’ont rien en commun si ce n’est une égale malchance qui les poursuit depuis l’enfance, et dont ils s’accommodent avec plus ou moins de philosophie. C’est la course qui va les rapprocher de manière très inattendue, et cette rencontre pour le moins percutante va définitivement changer leur vie…




Un grand merci à Flo Renard pour l’envoi de ce volume (et des marques-pages) et à la plateforme SimPlement pour avoir rendu ce partenariat possible.

- Un petit extrait -

« Victorien était comme lui.
Un malchanceux de naissance, un frère de déveine, un compagnon de mauvaise fortune. Toujours sous la menace d’un coup du sort, dans l’attente de la prochaine calamité. Une émotion sincère lui étreignit la poitrine et il balbutia :
- Oh… mais alors… toi aussi ?  »

- Mon avis sur le livre -

Samedi dernier, je suis rentrée de ma session pédagogique avec un mal de crâne horrible, des nausées à n’en plus finir, des vertiges atroces et une fatigue comme je n’en n’avais pas connue depuis des mois. J’ai donc laissé de côté ma lecture en cours, un gros pavé palpitant mais bien trop complexe pour la larve apathique que j’étais devenue, pour me tourner vers cet ouvrage que l’auteur m’avait présenté comme étant plus léger que son précédent roman, Aux petites heures de la nuit, que j’avais par ailleurs énormément apprécié. Et même s’il m’a fallu une bonne semaine pour en venir à bout (la fatigue finissait toujours par prendre le dessus sur la lecture), j’ai tout simplement adoré ce livre, aussi émouvant que drôle, qui fait dès à présent parti de ma « liste de bouquins à dévorer quand on est malade/déprimé (rayez la mention inutile) » !

Contrairement à son père et à son frère ainé, Gwenaël n’a rien d’un leader : parachuté à Marseille par son paternel pour remplacer l’ancien responsable des opérations logistiques de l’entrepôt marseillais de l’entreprise familiale, il peine encore à comprendre comme il a pu, en l’espace de quelques jours, être largué par son ex-petite amie et se faire licencier de son ancien boulot. Bien décidé à prendre enfin sa vie en main, Gwenaël décide de se mettre à la course à pied. Suite à une mémorable chute lors de sa toute première séance de running, il fait la rencontre de Victorien, un jeune homme s’entrainant lui aussi avec acharnement pour participer à un semi-marathon … dans la catégorie handisport. Gwenaël et Victorien ont un point commun : leur malchance légendaire. S’il doit arriver quelque chose de pas cool à quelqu’un, cela tombera forcément sur eux. Mais il semblerait bien que cette collision brutale entre le tibia de Gwenaël et le fauteuil roulant de course de Victorien soit au contraire la plus belle chose qui leur soit jamais arrivé …

Une fois encore, je tiens à remercier et féliciter Flo Renard pour la façon dont elle a évoqué la thématique du handicap. D’un côté, elle a su illustrer les difficultés rencontrées par Victorien (et par extension bien des personnes en fauteuil roulant) dans son quotidien : entre les valides dédaigneux qui s’autorisent à utiliser les places de stationnement réservées aux personnes en situation de handicap, les regards curieux ou gênés, les recruteurs qui s’obstinent à faire rimer « handicapé » avec « attardé » et le manque de logements adaptés, autant dire que sa volonté d’autonomie est souvent mise à rude épreuve. Sans oublier bien sûr la façon dont bien des français considèrent les personnes handicapées : des profiteurs qui se prélassent tranquillement chez eux en vivant des allocations payées par le contribuable. Ici, Flo Renard nous montre bien que Victorien, étant dans la possibilité physique et psychologique de travailler (ce qui n’est pas le cas de toutes les personnes en situation de handicap), veut le faire : hors de question à ses yeux de ne rien faire. L’auteur s’efforce ici de briser tous ces terribles préjugés qui attisent la haine d’une société tournée non pas vers la fraternité mais vers le jugement …

Mais la grande force des récits de Flo, c’est surtout de ne pas s’arrêter là : il ne s’agit pas de faire naitre pitié ou culpabilité chez le lecteur, ni de forcer l’admiration face au courage sans faille de Victorien qui surmonterait toutes ces difficultés sans jamais faillir. A travers cette histoire,  l’auteur ne nous présente pas un jeune homme en situation de handicap qui décide de vivre sa vie le plus normalement possible « en dépit » de son fauteuil roulant … elle nous présente seulement un jeune homme enjoué et déterminé, parfois découragé, qui s’avère être en fauteuil roulant. D’ailleurs, bien des fois, il m’est arrivé d’oublier ce-dit fauteuil jusqu’à ce qu’il soit de nouveau évoqué ! Victorien ne se définit pas par son handicap ; celui-ci fait partis de lui sans être sa seule caractéristique. Pour tout avouer, ce que je retiens de lui, au final, ce n’est pas son handicap mais sa malchance à toute épreuve : être oublié dans un bureau après un exercice d’évacuation incendie ou bien tomber sur un bouchon sur l’autoroute deux minutes seulement après avoir dépassé l’ultime sortie, clairement il aura tout eu ! Bref, ce que j’aime dans ce livre, c’est que Victorien ne remplit pas le rôle du « gars qui fait ouvrir les yeux du lecteur sur la dure vie des personnes en fauteuil roulant », mais bel et bien le rôle principal, au côté de Gwenaël, du « sportif amoureux qui compte bien courir son marathon tout en vivant le parfait amour avec son compagnon ».

Plus que l’histoire, ce sont les personnages qui m’ont véritablement conquise. J’ai beaucoup aimé leur personnalité : entre Gwenaël, sa timidité et son manque d’assurance, et Victorien, son ironie et sa détermination, bref, entre ces deux garçons sensibles et gentils, mon cœur balance encore. Cela fait tellement de bien de voir, dans un roman, des garçons émotifs, généreux, tendres : ces qualités sont tellement mal perçues dans notre société … lorsqu’elles sont détenues par des garçons. Le père de Gwenaël considère ainsi son fils comme « un benêt, un couillon », tout simplement parce qu’il est plus effacé et moins assuré que l’idéal masculin le voudrait. Donc, définitivement, je suis ravie d’avoir fait la connaissance de Victorien et Gwenaël, que leur malchance mêlée de maladresse rend encore plus attachants ! J’ai toutefois une mention spéciale à discerner à Milla, la chienne de Victorien, qui est un personnage à part entière dans cette histoire. Si seulement elle pouvait sortir de la couverture et venir me tenir compagnie, je serai ravie : elle est à la fois drôle et mignonne, intelligente et farceuse, adorable et gaffeuse ! Voici donc mon personnage préféré dans cette histoire !

Une histoire qui, comme je l’ai rapidement dit dans l’introduction, avait tout pour me remonter le moral. Une jolie histoire d’amour qui, si elle nait très rapidement, n’a rien du coup de foudre artificiel : ce n’est qu’au fur et à mesure qu’ils apprenaient à se connaitre que leur amitié s’est muée en quelque chose de plus profond, de plus fort. Une des choses que j’ai particulièrement apprécié, c’est que dans ce livre, l’accent est mis sur les sentiments : aucune scène érotique dans ce roman, et c’est très bien comme cela ! Ils s’aiment, tout simplement, pour ce qu’ils sont l’un et l’autre, et pas uniquement pour les nuits passées ensemble. Autre point très important dans ce récit : l’humour. Victorien et Gwenaël, on l’a dit, sont deux grands malchanceux chroniques, et malheureusement pour eux, ce n’est pas parce qu’ils sont en couple que les choses se sont miraculeusement arrangées ! Je dois bien l’avouer, j’ai très régulièrement rigolé face à leurs mésaventures, souvent cocasses … même si, une fois, j’étais au bord de la crise de larmes, j’ai eu trop peur pour Milla et les deux garçons ! Mais le comique n’est pas uniquement de situation, il est également de parole : Victorien a l’art et la manière de dédramatiser les choses, de manier l’ironie avec brio, et ses interventions m’ont beaucoup fait rire également !

En bref, vous l’aurez compris, ce roman est un coup de cœur qui a réussi à me redonner le sourire en dépit de l’apathie dans laquelle j’étais plongée. Une histoire d’amour joliment menée et agréablement racontée, des personnages attachants qui n’hésitent pas à montrer leurs sentiments et émotions, des situations souvent comiques et de l’humour à toutes les pages … rien à redire, ce roman a tout pour entrer dans le cercle très fermé des livres-doudous ! Alors forcément, je ne peux que vous conseiller cette petite perle de l’autoédition qui prouve, si cela est encore à prouver, que parfois, la simplicité a du bon : cette histoire, finalement, n’est rien d’autre qu’une « tranche de vie » de deux personnages plutôt banals, mais cela ne l’empêche pas d’être tout simplement géniale !

Ce livre a été lu dans le cadre de la Coupe des 4 maisons
(plus d’explications sur cet article)

dimanche 22 octobre 2017

Lola et Ulysse, Julien Leclercq et Pauline Amélie Pops



Lola et Ulysse, Julien Leclercq et Pauline Amélie Pops
Editeur : YakaBooks
Nombre de pages : 29
Résumé : Lola est bien seule depuis que ses deux meilleures amies ne lui adressent plus la parole. Pourtant, elle aimerait leur parler de ce grand cheval noir qu’elle croise sur le chemin pour aller à l’école et qui l’effraie. Lola s’applique à l’éviter quand, un soir, elle ne perçoit plus aucune trace de l’animal …

Un grand merci à Lucie Brasseur de chez YakaBooks pour l’envoi de ce volume et à la plateforme SimPlement pour avoir rendu ce partenariat possible.

- Un petit aperçu des illustrations -


- Mon avis sur l’album -

Je ne crois pas en avoir déjà parlé sur le blog, mais avant de devenir la lectrice compulsive que je suis aujourd’hui, j’étais surtout une grande passionnée d’équitation. Je me suis toujours sentie plus à l’aise avec les chevaux qu’avec les humains, et je fus très triste lorsque les médecins me conseillèrent d’arrêter la pratique pour préserver mon dos. Mais je reste une grande amoureuse des chevaux, et je n’ai donc pas pu résister à ce petit album à la couverture tellement douce et mignonne qui promettait une jolie rencontre entre une petite fille et un cheval. 

Lola est une petite fille comme les autres : elle va à l’école, passe son temps libre avec ses deux meilleures amies et n’aime pas les légumes. Et comme toutes les petites filles, Lola est effondrée lorsque ses deux copines ne veulent plus lui adresser la parole à cause d’un malheureux malentendu. D’autant plus qu’elle aimerait tellement leur parler du cheval des nouveaux voisins, qui lui fait tellement peur à chaque fois qu’elle passe devant son enclos pour venir à l’école … Mais voilà qu’un soir d’hiver, elle entend le pauvre animal hennir de terreur tandis que des hommes cherchent à l’embarquer dans un van. Et voilà que Lola intervient pour sauver ce si grand cheval noir comme la nuit …

Je suis tombée amoureuse de ce petit album qui plaira autant aux enfants qu’à leurs parents. Je pense que deux mots suffisent pour résumer ce que je pense de ce petit livre : « douceur » et « tendresse ». Lola est une petite fille toute adorable, très sensible, toute bouleversée par le rejet de ses meilleures amies … et toute apeurée par ce grand cheval noir. Mais pourtant, lorsque celui-ci sera en danger, elle n’hésitera pas une seconde pour aller l’aider. Et c’est le début d’une jolie amitié toute mignonne, une amitié bien plus solide que celle qui l’unie à ses copines. Et les illustrations sont en parfaite adéquation avec l’ambiance du récit : de jolies couleurs pastels, des dessins tout simples mais particulièrement expressifs … c’est un régal pour les yeux ! 

En bref, Lola et Ulysse, c’est une très belle histoire joliment racontée et magnifiquement illustrée qui convient à tous les âges. Elle est idéale pour les premières lectures en autonomie des petits lecteurs, qui de plus pourront surement très facilement s’identifier à Lola, mais également pour l’histoire du soir des plus petits : avec un petit album aussi doux, aussi tendre, on ne peut faire que de merveilleux rêves … Et ce qui est top, c’est que pour deux euros (vous avez bien lu : une simple pièce de 2€) vous avez un super cadeau à offrir à tous les petits passionnés de chevaux (et les grands aussi, d’ailleurs) !

samedi 21 octobre 2017

Tag PKJ - La rentrée



Tag PKJ - La rentrée

 Contrairement à ce que les apparences peuvent laisser penser, je ne suis absolument pas en retard pour effectuer ce tag … En effet, la session pédagogique de rentrée de ma formation par correspondance a eu lieu cette semaine ! Je pense que vous connaissez le principe des tags PKJ : il suffit de citer un livre lu pour chaque proposition, sans réutiliser deux fois le même livre. C’est parti !

- Mes réponses au tag -

1. Un livre qui se passe dans une école.


 Excepté deux ou trois chapitres, l’intégralité de l’histoire de Qui es-tu Alaska ? de John Green se déroule au cœur d’un pensionnat. Pour le personnage principal, même les vacances ont lieu au sein de l’école, donc je pense ne pas pouvoir trouver de livre plus approprié.

2. Un livre qui met en scène un professeur que vous aimez.


 Dans Charlie+Charlotte de Shannon Lee Alexander, Charlie et ses camarades de classe, scientifiques acharnés, accueillent avec … froideur leur nouvelle professeure de littérature. Aussi étonnant que cela puisse paraitre, cette malheureuse enseignante incomprise par ses élèves va avoir une place de choix dans l’intrigue !

3. Un livre où le héros entre dans la vie active.


 J’ai été obligée d’aller piocher dans mes lectures pré-ouverture de blog pour trouver un livre correspondant à cette proposition ! Ainsi, dans le tome 7 de La petite maison dans la prairie, Laura Ingalls Wilder occupe son tout premier poste d’institutrice.

4. Un livre où certaines scènes se passent dans une bibliothèque/une librairie.


Dans Pour toujours … jusqu’à demain de Sarah Dessen, Macy travaille dans une bibliothèque durant l’été, et forcément, de nombreuses scènes se déroulent dans son lieu de travail estival … d’autant plus que la relation avec ses collègues est importante dans l’intrigue !

5. Un livre avec au moins un livre représenté sur la couverture.


Sur la couverture du cinquième tome de La petite maison dans la prairie, Laura et Marie tiennent chacune un livre ! (J’avoue, j’ai eu énormément de mal à trouver, donc tant pis, j’utilise deux tomes d’une même saga)

6. Le premier livre que vous avez lu une fois vos vacances terminées.

 
Le premier livre que j’ai lu début septembre (date à laquelle j’ai commencé à bosser mes cours) fut Aux petites heures de la nuit de Flo Renard.

7. Un livre « one-shot » de plus de 500 pages.


C’est une honte de m’obliger à aller piocher dans mes lectures scolaires, et encore plus de me contraindre à sélectionner le Voyage au bout de la nuit de Céline, ouvrage qui m’a littéralement fait plongée dans la dépression (mais qui m’a apporté un joli 17/20 au contrôle de lecture, pour compenser, surement) !

8. Un livre que vous avez lu pour l'école et que vous avez aimé.

 
Une petite dose de Zola, car on n’en a jamais assez ! Nana, je l’avais lu en première il me semble, et il m’avait vraiment intéressée, comme tous les autres ouvrages de Zola qu’il m’a été donné de lire jusqu’à présent d’ailleurs !

9. Un livre avec une belle histoire d’amitié.


Cette fois-ci, le plus difficile fut de choisir parmi toute la ribambelle d’idées qui me venaient à l’esprit ! Finalement, mon choix s’est donc porté sur Mon petit cœur de pierre de Lucile Caron-Boyer parce qu’à mes yeux, cette histoire est véritablement avant tout une magnifique histoire d’amitié.

10. Un livre avec un personnage « intello ».

 
Auden, personnage principal d’En route pour l’avenir de Sarah Dessen, est l’adolescente parfaite et brillante par excellence, qui potasse ses livres de cours pendant tout l’été précédant son entrée à l’université …

11. Un livre qui est la réécriture d’un classique.

 
Une amie m’avait prêté ce livre en seconde (déjà, que le temps passe vite !). Il s’agit de Juliette forever de Stacey Jay, qui est, on s’en doute, une réécriture de Roméo et Juliette de Shakespeare. Cela me fait d’ailleurs penser que je le relirai volontiers !

12. Un livre qui se déroule au 19ème siècle.


 Encore un petit peu de Zola avec le Bonheur des Dames, une magnifique histoire d’amour mais aussi un récit particulièrement affolant sur l’essor des grands magasins et la naissance de la société de consommation !

13. Un livre avec une carte.


Chaque tome de l’immense et merveilleuse saga La guerre des clans d’ErinHunter est précédé par deux cartes présentant le territoire de ces chers chats sauvages : une selon leur point de vue et une selon le note.

14. Un livre avec un titre en anglais.


J’aurai bien aimé vous présenter un ouvrage moins connu mais … c’est le seul livre que j’ai lu dont le titre est en anglais, en fait. A part les livres en VO, bien sûr, mais ça aurait été de la triche ! J’ai donc choisi le premier tome d’Hunger Games de Suzanne Collins pour cette dernière catégorie du tag !

N’hésitez pas à répondre vous aussi à ce tag !