samedi 31 décembre 2016

Mon book haul du mois de décembre 2016



- Book haul du mois de décembre 2016 -

Une fois n’est pas coutume, c’est un minuscule book-haul que je vous présente aujourd’hui. En effet, durant le mois de décembre, seuls six livres ont rejoint les étagères : cinq cadeaux de Noël et une réception de partenariat. Et c’est tout. Ce n’est pas tant que je suis soudainement devenue raisonnable, c’est juste que j’ai été tellement occupée par mes deux licences que je n’avais même pas de temps de trainer sur les sites d’occasion pour dénicher des petites merveilles. Je n’avais pas le temps de lire, non plus, par ailleurs …

- Les cadeaux de Noël -


• Veronica Roth, Divergente racontée par Quatre – Edition augmentée : la fiche livraddict + la chronique (à venir)
• Sabaa Tahir, Une flamme dans la nuit : la fiche livraddict + la chronique (à venir)


• Victor Dixen, Phobos3 : la fiche livraddict + la chronique (à venir)
• J. K. Rowling, Fantastic Beasts and Where to Find Them – The Original Screenplay : la fichelivraddict + la chronique (à venir)



• Pierre Bottero, Lylian et Laurence Baldetti, La Quête d’Ewilan – Les plateaux d’Astariul : la fichelivraddict

- Les réceptions -


• Tstutomu Sato, The Irregular at Magic High School - Enrôlement : la fiche livraddict + la chronique

mercredi 28 décembre 2016

Une histoire d'amour et de ténèbres - Amos Oz



Une histoire d’amour et de ténèbres, Amos Oz

Editeur : Gallimard
Collection : Du monde entier
Nombre de pages : 543

Résumé : "Tu veux jouer à inventer des histoires ? Un chapitre chacun ? Je commence ? Il était une fois un village que ses habitants avaient déserté. Même les chats et les chiens étaient partis. Et les oiseaux aussi..." Le petit garçon qui joue ainsi à inventer des histoires à la demande de sa mère est devenu un grand romancier. Sa mère n'est plus là, mais il tient malgré tout à poursuivre la relation de l'existence tumultueuse de sa famille et de ses aïeux.



- Un petit extrait -

« Des livres, en revanche, on en avait à profusion, les murs en étaient tapissés, dans le couloir, la cuisine, l'entrée, sur les rebords des fenêtres, que sais-je encore ? Il y en avait des milliers, dans tous les coins de la maison. On aurait dit que les gens allaient et venaient, naissaient et mouraient, mais que les livres étaient éternels. Enfant, j'espérais devenir un livre quand je serais grand. Pas un écrivain, un livre : les hommes se font tuer comme des fourmis. Les écrivains aussi. Mais un livre, même si on le détruisait méthodiquement, il en subsisterait toujours quelque part un exemplaire qui ressusciterait sur une étagère, au fond d'un rayonnage dans quelque bibliothèque perdue, à Reykjavik, Valladolid ou Vancouver. »

- Mon avis sur le livre -

J’ai beau être une lectrice passionnée, je dois avouer être toujours assez peu enthousiaste face aux bibliographies obligatoires de mes professeurs de littérature : de mauvais souvenirs datant du collège m’ont rendues plutôt réticente aux lectures scolaires. C’est donc assez peu motivée que je me suis lancée dans ce roman, le seul de la liste qui me semblait un minimum intéressant. Et finalement, je suis véritablement ravie d’avoir dépassé mon appréhension première : ce fut une très belle lecture, même si ce n’est pas du tout le genre de livre que je lis d’ordinaire ! Pas évident à chroniquer car j’ai toutes les grilles de lecture données par ma prof en tête, mais je vais essayer de faire abstraction de ces considérations littéraires pour vous expliquer simplement ce qui m’a plu dans ce roman autobiographique.

Nous suivons donc l’enfance du petit Amos, qui vit avec ses parents dans un quartier modeste de Jérusalem. Chapitre après chapitre, pièce après pièce, il reconstitue le puzzle de son enfance, qui a fait de lui ce qu’il est aujourd’hui. Pour cela, il nous conte l’histoire complexe de sa famille, il remonte toujours plus loin dans le passé pour mieux saisir le fabuleux hasard qui lui a donné naissance. Pour cela, il nous conte l’histoire tumultueuse de son pays, il explique avec son regard et ses mots d’enfants les événements qui ont précédés et suivis la reconnaissance de l’Etat d’Israël par l’ONU. Et ces deux histoires s’entremêlent pour n’en former plus qu’une, celle du petit Amos qui grandit au milieu de tous ces événements nationaux et familiaux …

A mes yeux, la force de ce récit, c’est sa narration : elle mêle avec brio l’innocence de l’enfance et la pleine conscience de l’âge adulte. Tout tourne sans cesse entre ces deux perceptions, ces deux visions du monde, qui n’en forment finalement qu’une puisqu’il s’agit simplement de la même personne à deux moments différents de sa vie. Il y a des choses que l’enfant ne comprend pas encore, ou pas parfaitement, et qui restent donc floues jusqu’à ce que l’adulte narrateur intervienne pour clarifier tel ou tel événement. Le lecteur se retrouve donc au cœur de cette rencontre, au milieu de cette confrontation entre les souvenirs d’enfance et la compréhension à posteriori de cette mémoire. Et finalement, il est aussi question de la construction d’une identité : comment les événements extérieurs, les rencontres, la vision que les autres ont sur nous, permettent-ils de faire qu’un enfant devienne un adulte unique et différent de tout autre ? Quelle est la force du passé sur le présent ? Tout ceci, cette histoire le montre bien.

Je dois avouer ne pas vraiment savoir quoi ajouter : comme précise au début, ce n’est pas du tout mon genre de prédilection, aussi ne sais-je pas trop comment approfondir cette chronique. Je me contente donc de dire que ce fut une belle lecture, une histoire qui nous fait voir l’histoire plus concrètement, un récit de vie qui se lit très facilement. Il y a finalement plusieurs histoires dans cette histoire : celle d’Amos, celle de l’état d’Israël, mais aussi celle de la maman d’Amos, celle de sa maitresse, celle de son grand-père ... et j’en passe ! Bien loin de me décourager ou de me perdre, cette multiplication d’histoires m’a passionnée : finalement, ne serions-nous pas aussi les héritiers inconscients du vécu de nos parents, de nos grands-parents, et ainsi de suite ? Ne serions-nous pas la somme de toutes ces rencontres, de tous ces événements qui conduisirent à notre naissance ? Je conseille donc ce livre aux passionnés d’histoire ainsi qu’à ceux qui aiment les autobiographies.



Ce livre a été lu dans le cadre de la Coupe des 4 maisons
(plus d’explications sur cet article)

lundi 26 décembre 2016

Les Outrepasseurs, tome 1 : Les Héritiers - Cindy Van Wilder



Les Outrepasseurs1, Cindy Van Wilder
Les Héritiers

Editeur : Gulf Stream
Nombre de pages : 347

Résumé : Peter, un adolescent sans histoire, échappe de justesse à un attentat et découvre que l’attaque le visait personnellement. Emmené à Lion House, la résidence d’un mystérieux Noble, il fait connaissance avec les membres d’une société secrète qui lutte depuis des siècles contre les fés : les Outrepasseurs. Les révélations de ces derniers vont changer le cours de sa vie…




- Un petit extrait -

« Quand le Chasseur fut assuré du décès du cerf, il s'accroupit sur la pointe des pieds et contempla l'énorme carcasse étendue dans le sous-bois, dont la terre noire avait absorbé le sang. Des traînées sanguinolentes maculaient les membres dénudés du Chasseur. La lumière indiscrète de la lune révélait un corps mince, à l'apparente fragilité. Impression trompeuse, qui lui avait permis d'emporter bien des combats face à des ennemis surpris par la force de leur adversaire. »


- Mon avis sur le livre -

J’ai lu ce premier tome en prévision du Salon du livre de Colmar, parce que je n’aime pas rencontrer un auteur sans avoir lu au moins un de ses ouvrages. Pour tout avouer, cela faisait déjà des années que ce titre, cette couverture, me faisaient de l’œil dès que je passais dans une librairie, mais je préférais alors privilégier toutes mes autres sagas en cours que d’en débuter une nouvelle. Alors vous comprenez bien que l’excuse de la préparation du Salon est tombée à point pour m’éviter de culpabiliser ! Et pour tout dire, je ne regrette absolument pas d’avoir céder à cette impulsion, d’autant plus que ma rencontre avec l’auteure fut tout simplement magique (petit message à l’attention de Cindy si par hasard elle passe ici : ici la lectrice qui hésita pendant toute l’après-midi à s’acheter Memorex pour Noël … et qui a fini par céder !). 

Alors, de quoi est-il question dans ce premier tome ? Si je vous réponds, « des Outrepasseurs », vous allez sans doute vous dire « Mais elle se moque de nous, là ? ». Dans ce cas, je vais tout simplement répondre : de Peter, adolescent passionné de football en apparence tout à fait banal, qui découvre l’étrange communauté que forment les Outrepasseurs. Je peux difficilement vous donnez plus de détails, de crainte de vous ôter tout plaisir de la découverte si, par chance, ma chronique vous donnait envie de vous lancer dans cette fantastique histoire. Car tout l’attrait de ce premier tome est de poser les bases de l’intrigue en répondant à la fameuse question que tout à chacun se pose en lisant le titre : « Qu’est-ce que les Outrepasseurs ? » et à celle qu’induit le résumé : « Pourquoi diable des fés pourchassent-ils ces fameux Outrepasseurs ? » et également à celle que fait naitre le rabat de la première de couverture : « Pourquoi y a-t-il un renard ? ». 

Je pense que l’adjectif utilisé sur la quatrième de couverture pour qualifier la saga s’applique parfaitement à ce premier tome : envoutant. Dès les premiers mots, le lecteur se voit happé dans un univers magique mais pas féérique pour autant : mystère et sauvagerie rythment cette histoire qui prend rapidement la forme d’un retour aux origines. Car c’est la grande surprise de ce roman : il jongle entre deux époques, celle de Peter et celle des premiers Outrepasseurs, quoique ces derniers puissent être. Et pour la passionnée d’histoire médiévale et de théologie que je suis, me retrouver dans les années 1200 aux côtés d’un moine alors que je ne m’y attendais pas du tout est tout simplement fantastique, d’autant plus qu’on sent la volonté de réalisme de l’auteur. Une fois plongée dans cette histoire, il m’était parfaitement impossible d’en sortir … et je dois bien avouer l’avoir d’ores et déjà relu tellement il m’a plu !

Ce qui est assez formidable dans ce récit, c’est que le lecteur découvre absolument tout en même temps que Peter : contrairement à d’autres romans du même genre, pas d’explications parallèles pour permettre au lecteur de mieux saisir ce que les personnages ne comprennent pas encore. Ici, nous nageons en plein inconnu, et je dois admettre qu’à ma seconde lecture, j’étais tout aussi éberluée que la première fois au fur et à mesure que l’histoire avance. Les pièces du puzzle se mettent en place vraiment lentement, sans que rien ne permette de les voir arriver, et la surprise est totale à chaque nouvelle phase du dénouement … Enfin, si on peut parler de dénouement. Car finalement, une fois la dernière page tournée, on a certes des réponses à nos interrogations premières, mais on se retrouve avec de nouvelles questions, encore plus nombreuses que les précédentes. Mais étrangement, ce n’est absolument pas frustrant. Juste … normal. Je ne sais pas trop comment expliquer cela, mais j’ai le sentiment que ces questions font parties « du jeu », et par conséquent, elles ne me rendent pas complétement folle de frustration comme cela peut parfois être le cas.

Mais une histoire, aussi merveilleuse soit-elle, ne vaut rien sans la narration qui va avec ! Et sur ce point-là, rien à redire : la plume de Cindy est juste époustouflante ! Elle fait littéralement vivre ses personnages au travers des mots : les émotions sont retranscrites avec tellement de finesse, les dialogues avec tellement de spontanéité et les actions avec tellement de dynamisme qu’il suffit presque de fermer les yeux pour voir l’histoire se dérouler devant nous. C’est une narration vraiment agréable à lire, très fluide et très imagée, mais le détail qui fait toute la différence, c’est que Cindy n’est pas tombée dans l’excès qui guette les auteurs jeunesses : faire trop facile à lire. Nous avons ici un style certes avenant pour les jeunes lecteurs – pas de subjonctif plus-que-parfait imbuvable – mais tout de même suffisamment soutenu pour satisfaire également les plus grands. C’est à mes yeux un point vraiment positif de ce récit : proposer une véritable alternative entre les romans pour adolescents pleins de niaiseries et les récits pour adultes parfois trop violents. Le juste milieu, voilà ce que propose ce récit !

En bref, une histoire captivante, envoutante, passionnante, qui tient le lecteur en haleine du début à la fin. Un univers aussi merveilleux que sombre, aussi magique que violent, qui permet à ce récit de se démarquer des autres romans fantastiques pour adolescents. Un livre que je conseille fortement à tous ceux qui aiment les mystères et les secrets, à tous ceux qui trouvent que Disney a décidément bien trop édulcoré les contes et les légendes. Certains trouveront peut-être que ce tome d’introduction est un peu lent, mais personnellement, je trouve que c’est justement cette « lenteur » qui fait toute sa richesse : le calme avant la tempête qui, je n’en doute pas, secouera le second tome …

Ce livre a été lu dans le cadre de la Coupe des 4 maisons
(plus d’explications sur cet article)

vendredi 23 décembre 2016

The Irregular at Magic High School, tome 1 : L'enrôlement - Tsutomu Sato



The Irregular at Magic High School1, Tsutomu Sato
Enrôlement

Editeur : Ofelbe
Nombre de pages : 414
Résumé : En 2095, trente ans après l’intervention des magiciens qui mirent fin à la Troisième Guerre mondiale, la magie, autrefois fruit des mythes et légendes, est devenue une technologie courante tout comme les pouvoirs qu’elle procure. Tatsuya Shiba et sa jeune soeur Miyuki ont tous deux rejoint la plus prestigieuse de toutes les écoles de magie, mais si l’un est relégué au rang des élèves les moins doués, l’autre est considérée comme un véritable prodige. Alors qu’ils ne rêvent que d’une scolarité sans histoire, les conspirations et les menaces pesant sur l’académie les forceront à agir !

Un grand merci aux éditions Ofelbe pour l’envoi de ce volume ainsi qu’à la plateforme Livraddict pour avoir rendu ce partenariat possible.

- Un petit extrait -

« La magie. A quel moment cette chimère issue des légendes et des contes de fées devint-elle une technologie moderne ? Les premières archives fiables sur le sujet dataient de 1999. Cette année-là, un agent de police doté de pouvoirs spéciaux fit avorter une attaque terroriste nucléaire, planifiée par un groupe de fanatiques qui souhaitait concrétiser une prophétie menant à l’extinction de la race humaine. Ce fut le premier cas avéré qui confirma l’existence de la magie durant l’époque contemporaine. »

- Mon avis sur le livre -

Lorsque j’ai reçu ce livre, j’étais terriblement frustrée de ne pas pouvoir le commencer aussitôt (la faute aux études, à la maladie et aux aléas de la vie) car j’étais vraiment impatiente de découvrir ce genre encore non-représenté sur mes étagères : le light novel. Outre cette curiosité vis-à-vis de ces romans par tout à fait comme les autres, le résumé me semblait particulièrement prometteur : un savant mélange entre fantasy et science-fiction, deux de mes genres favoris, ne pouvait que me plaire, me disais-je. Malheureusement, je dois bien admettre que ce livre n’a pas du tout satisfait mes attentes, bien au contraire, et je ne ressort doublement déçue de cette histoire dont j’attendais énormément … 

A vrai dire, je ne sais pas trop comment formuler ce résumé, pour la simple et bonne raison que je n’ai pas compris grand-chose à l’intrigue, si intrigue il y a (je reviendrais sur ce point un petit peu plus tard). Pour faire très simple, il faut imaginer que la magie fait désormais partie de la réalité et non plus des mythes, et qu’il existe des établissements scolaires pour magiciens en herbe. Tatsuya et sa jeune sœur Miyuki entrent ainsi tous deux au Premier Lycée, établissement le plus prestigieux du pays. Mais si Miyuki, du fait de sa maitrise impeccable, fait partie du Premier Cursus, c’est-à-dire des élites du lycée, Tatsuya, en dépit de ses connaissances apparemment illimitées et d’une pratique apparemment secrète, intègre le Second Cursus, fortement dévalorisé. Mais voilà que les choses s’accélèrent, qu’un complot menace le lycée – et peut-être même le pays – et que cette année scolaire présumée tranquille se transforme en une véritable course contre la montre …

Quand je relis ces quelques phrases, je me rends bien compte que mon résumé semble aussi enthousiaste que d’habitude … pour la simple et bonne raison que l’idée de base était vraiment intéressante. Malheureusement, cela n’a pas suffi à me faire véritablement apprécier ce livre. Pourquoi ? Et bien finalement, c’est tout simple : tout est bien trop complexe et emberlificoté. Qu’il s’agisse des explications – interminables, au demeurant – sur le fonctionnement de la magie et des CAD – baguettes magiques électroniques, on va dire, prenant des formes aussi diverses qu’un pistolet, une matraque ou une sorte de téléphone portable –, la hiérarchie dans la société et dans le lycée en lui-même … Les dialogues sont également assez difficiles à suivre : je n’arrivais jamais à savoir qui parlait, à cause des personnages bien trop nombreux aux noms bien trop proches les uns des autres, et d’un manque certain de précisions quant aux interlocuteurs … Je m’arrête ici pour les exemples, car vous aurez bien compris le problème : ma lecture a été terriblement laborieuse, et c’est bien cela qui m’a dérangée. De plus, les chapitres étaient terriblement longs, pas vraiment pratique pour les lecteurs boulimiques qui ne savent pas s’arrêter avant la fin d’un chapitre …

Il y a cependant des points positifs dans ce roman : des personnages à la personnalité réfléchie qui semblent cacher de délicats secrets, des mystères et des complots, un peu de légèreté, et surtout un univers qui semble très riche en possibilités. Que de potentiel malheureusement masqué derrière le style assez incompréhensible de la narration ! Les illustrations disséminées ci et là sont vraiment un atout pour l’histoire, ainsi que les quelques pages de présentation et explications au début (même si cela ne suffit pas à rendre le roman parfaitement compréhensible, l’effort est appréciable). Le petit bonus qui fait plaisir : la petite carte glissée dans le volume nous donnant accès aux trois premiers épisodes de la version animée, et même si je ne suis pas certaine d’avoir envie de m’en servir, c’est une attention qui fait plaisir !

En bref, un livre dont j’attendais énormément mais qui n’a pas su combler mes attentes à cause d’une complexité assez insurmontable à mes yeux. C’est très rare de ma part, mais je pense que je ne lirais pas la suite, vu que je n’ai pas vraiment compris l’intrigue de ce premier tome, qui avait pourtant énormément de potentiel. Cette première expérience des light novel ne s’avère donc pas concluante, mais je remercie tout de même les éditions Ofelbe et Livraddict pour ce partenariat : je ne suis peut-être tout simplement pas le bon public pour ce genre de récits …  

Ce livre a été lu dans le cadre de la Coupe des 4 maisons
(plus d’explications sur cet article)